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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/161

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UNE COUR D’ASSISES.

— Juges, dit l’infortuné, vous êtes bien cruels de ne pas vous contenter de ma tête !

On l’emmena ; tribunal, jurés et public se retirèrent ; mais il fallut emporter Justine.


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