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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/165

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VIII.

AFFREUX COMPLOT.

La baronne de Boistange mit tout en œuvre pour calmer le désespoir de sa fille adoptive ; mais la pauvre enfant était frappée au cœur. Pourtant le désir et l’espérance de voir encore Georges l’empêchèrent de succom-