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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/338

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JUSTINE.

jour de la justice brillera enfin pour nous : notre réhabilitation n’est pas impossible ; vivons d’espérance et d’amour.

Georges ne répliqua que par de tendres et chastes caresses, et tous deux, heureux du présent, s’efforcèrent d’oublier le passé, et rêvèrent un délicieux avenir.


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