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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/416

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JUSTINE.

deux hommes d’un aspect repoussant entrèrent dans la chambre. Sur un signe du comte, ils saisirent la jeune fille, la dépouillèrent de ses vêtemens malgré ses cris, et, après lui avoir lié les mains derrière le dos, lui meurtrirent le corps à coups de fouets. Les forces de l’orpheline furent bientôt épuisées ; elle s’évanouit.


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