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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/438

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JUSTINE
OU
LES MALHEURS
DE
LA VERTU,
Avec Préface
Par le Marquis de SADE.
Ô mon ami ! la prospérité du crime est comme la foudre, dont les feux trompeurs n’embellissent un instant l’atmosphère, que pour précipiter dans les abîmes de la mort le malheureux qu’ils ont ébloui !
Tome II, chap. 21.
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TOME SECOND.
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PARIS.
CHEZ OLIVIER, LIBRAIRE,
Rue Saint-André-des-Arcs, No 35 ;
ET CHEZ L’ÉDITEUR, RUE J.-J.-ROUSSEAU, No 3.

1836.