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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/492

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III.

LES DEUX CONDITIONS.

Dès le lendemain Georges et Justine se présentèrent chez l’un de ces placeurs dont le jeune homme avait parlé, et le trouvèrent donnant audience à une cohue de palefreniers, valets de pied, cuisinières, cochers, etc.