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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/586

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DÉCOUVERTE.

sère et inaperçus s’ils avaient toujours suivi le droit fil. Encore une fois tout est bien.

Ces paroles étaient bien plus propres à exciter la curiosité de Georges qu’à l’amortir ; Justine et madame Valmer n’étaient pas moins impatientes d’entendre le récit de cet homme extraordinaire.

Guibard, après s’être recueilli quelques instans, commença ainsi :


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