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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/692

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LE BIEN ET LE MAL.

me semblait que je m’estimais un peu plus depuis que j’avais fait le premier pas ; je me dis que ce serait une lâcheté de reculer si vite, et je résolus de persévérer. Je vous dirai demain ce qui en résulta ; il me faut environ encore une heure pour arriver à la fin, et je ne veux pas fatiguer ce garçon-là.

Georges déclara qu’il se trouvait très-bien ; mais le vieux Guibard ne voulut pas achever, et il se retira.


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