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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/73

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LE MAIRE ET LE CURÉ.

prier pour exécuter cet ordre ; mais Justine ne lui en laissa pas le temps, et, après avoir jeté un regard d’indignation sur le prêtre, elle s’élança vers la porte et sortit.


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