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Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/847

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JUSTINE.

— Je l’avais prévu ! s’écria le vieux forçat… Ailleurs, pensa-t-il, pauvre fou ! ailleurs, c’est le néant !… S’il en était temps encore !… Mais où le trouver ?…

Il dit, et, comme s’il eût été subitement frappé d’un trait de lumière, il sortit précipitamment.


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