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Page:Rabbe - Album d’un pessimiste, I, 1836.djvu/145

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Périsse mon âme, et que mon nom soit taché d’infamie, si je trempe jamais, même par la plus faible velléité, dans ce complot universel de sottise et de perversité ! si je désire jamais un ruban ou un titre : celui d’homme me suffit. Puissé-je seulement en être toujours digne ! puissé-je ne jamais préférer la durée de ma vie, à l’honneur de mon caractère !