Page:Rabelais marty-laveaux 03.djvu/388

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

7 »

A Alonf. le Bailliufdu Bailliuf des Bailliufs,

MONS^ M’^. ANTOINE HVLLET,

Seingneur de la. Court Pompin, en Chreftianté. A Orléans.

  • \\=^’^(Cx=^ ï Pater Reucrendifïïme, quo-

Q 1 H^ ’l modo bruflis^qux noua ! Parifius ^ KT >T| W’ rioi^ ^"^î^t O"^ ’ Ces paroles propo- fees deuant vos Reuererxes, tranf- lacees de Patelinois en noftre Vul- gaire Orleanois valent autant à dire comme fi ie difois, Monf. vous foies de trefbien reuenu des Nopces, de la Felle, de Paris. Si la Vertu de Dieu vous infpiroic de tranfporter voftre Paternité iufques en ceftui Hermitage, vous nous en raconteriés de belles. Auffi vous donneroit le S^ du lieu certaines efpeces de poiflons carpionnés lefquels fe tirent par les che- ueux. Or vous le ferés, non quand il vous plaira, mais quand le vouloir vous y apportera de cellui Grand Bon Piteux Dieu, lequel ne créa onques le Karefme, oui bien les- Salades, Harancs, Merlus, Carpes, Brochets, Dars, Vmbrines, Ablettes, Rippes, &c. Item les bons vins, fingulierement cellui de ueteri iure enucleando^ lequel on garde ici à voftre