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Page:Rabier - Crétinot, 1922.djvu/64

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Dès que Crétinot fut remis de sa chute dans la marmite, il pensa à occuper de nouveau ses loisirs. Cette fois, le jeune garçon songea à faire du commerce. Il avait remarqué à la dernière fête du pays un Italien qui vendait des statues de plâtre, animaux et personnages, et qui semblait réaliser de sérieux bénéfices. « Voilà un négoce qui est bon, pensa Crétinot. Je vais moi aussi vendre des statues de plâtre. »