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XIII
Langarek, 2 mai 18..
e vous remercie, Maxime, pour l’existence que
vous me rendez, pour mon cœur que je sens
battre, pour la souffrance qui me revient… je vous
remercie pour l’amour que vous n’avez pas pour moi…
» Non ! nous ne nous reverrons plus, mais nous nous aimerons beaucoup. Je finis par où je devais commencer : l’idéal ! Je ne suis pas folle et cette excellente femme qui me veille, chaque nuit, Anne, votre Bretonne, n’a plus peur de mes cris, à présent. Imaginez-vous, Maxime, que je voyais le pont Notre-Dame et un bec de gaz dans mes rêves et que je criais : « Au secours, l’eau va m’entrer dans la bouche !… » Puis je vous sautais à la gorge en répétant : « C’est Maxime, le comte Maxime qui me