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XI
Depuis la naissance de son fils, James ne quittait plus le cottage. Il laissait les affaires de l’usine à son contre-maître et m’en avait donné la surveillance. Mon père, qui craignait pour ma santé, voulait m’empêcher d’aller si souvent au bureau ; mais je préférais le travail des écritures, si ennuyeux qu’il tût, à un perpétuel tête-à-tête avec mon beau-frère.
Madge était rétablie ; elle était déjà sortie de sa chambre et pouvait se passer de moi pendant quelques heures.
Le baby me prenait toute la matinée ; il m’eût pris toute la journée si je n’eusse été