Aller au contenu

Page:Rachilde - Le Démon de l’absurde, 1894.djvu/21

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
montent en vapeurs suffocantes, portant la fièvre de la terre, tous les miasmes pestilentiels, se dégageant des pourritures secrètes ou des tas de fleurs expirées. Elles sont douces, enveloppantes, comme la fantaisie d’une femme.

Elles se réunissent mollement, elles partent pour aller étouffer dans une étreinte caressante l’azur qui rit, le soleil qui se moque… Et le soleil