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Page:Rachilde - Le Grand saigneur, 1922.djvu/141

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Sans les domestiques, éteignant les bougies et emportant les coupes, les deux jeunes hommes se seraient rués l’un sur l’autre.

— Au revoir, Michel, dit Pontcroix se calmant le premier, avec sa grande habitude du masque mondain.

— Au revoir, marquis… de Sade ! gronda Michel.

— Tais-toi ! cria Marie en s’enfuyant dans sa chambre. C’est moi qui me suis écorchée en relevant mes cheveux ! Ce rubis coupe comme un diamant…