neur les scènes de Rolla et fumait beaucoup pour se donner le ton.
Vinrent les premiers picotements d’amour. Ils furent très désagréables. Lévincé s’en ressentit longtemps !…
Il eut, peu à peu, le dédain de la femelle. Mais comme sa nature inouïe, selon son expression, pouvait ce qu’il lui commandait, il lui commanda de demeurer tranquille.
Il s’adonna à l’amour idéal, courtisant parfois les grues avec des bouquets blancs, sans comprendre pourquoi les grues lui répondaient par des gestes ignobles, ces petites impertinentes, en l’appelant : poison.
Courageusement, François commanda de plus en plus à sa nature indomptable de céder le pas.
Elle se retira… tout à fait.
Après l’obscurité d’une jeunesse torturée par les luttes ardentes, les polémiques acerbes du cabaret borgne, François se refaufila chez sa mère pieuse,