SCENE DERNIERE.
CHIC ANNE AU, ISABELLE, &c
CHIC AN NE AU.
•Onfienr….
DAN D I N.
Oiiy, pour vous feul l’Audianee Te donne.
Adieu. Mais, s’il vous plaift, queleftcet enfantla ;
CHI CANNE AU. C’eft ma Pille, Monficur.
.DAN D IN.
Hétoft, rappellcz-Ja :
ISABELLE.
.yeas eftes occupé.
DANDIN.
Moy ? je n’av point d’affaire^ Que ne me difiei-vous que vous elKez IbnPerej CHIC AN NE AU.
Monûeur…
D AND IN.
Elle fçait mieux voftre affaire que vouf, Dites. Qtf elle eft jolie, & qu’elle a les yeux doux ! Ce n’eft pas tout, ma Fille, il faut de la fàgefle. Je fuis tout réjoiiy de voir cette jeunelTe. Sçavcz-vous que j’eftoi* on Compere autrefois ? On a parle de nous.
ISABELLE.
Ah, Monfieur, je vous croisé
DANDIN.
Dy-nous i à qui veux-tu faire perdre la caufè ?
ISABELLE.
A perfonne.
DANDIN.
Pour toy je feray toute chofe.’
Parle donc.
ISAB ELLE.
Je vous ay trop d’obligation.
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