Page:Racine Théâtre Barbou 1760 tome1.djvu/270

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iiô LES PLAIDEURS,

L E A N DU E.

A l'autre.

Petit Jean. Je ne fais qu'efl: devenu fon fils } Et pour le père , il eft où le Diable l'a mis. ÎI me redcmandoit fans celle fcs épices ; Tt, j'ai tout bonnement, couru dans les offices Chercher la boete au poivre 5 & lui , pendant cds^ Eft difparu.

��SCENE V IIL

DANDIN , d une fenêtre , LEANDRE , CHICANEAU, L'INTIMÉ, PETIT JEAN.

D A N D I N.

Jr Aix , paix , que Poix fe taife-U

L E A N D R E.

Hé , grand Dieu !

Petit Jean.

Le voilà, ma foi, dans les goutières*

D A N D I N.

Quelles gens êces-vous? Quelles font vos alïàires? Qui font ces gens en robe ? Etes-vous Avocats î Ça parlez.

Petit Jean. Vous verrez qu'il va juger \cs chats.

D A N I N.

Avcz-vous eu le foin de voir mon Secrétaire ? Allez lui demander fi je fais votre affaire.

L E A N D R E.

Il faut bien que je l'aille arracher de cts lieux. Sur votre prifonnier , HuilTier , ayez les yeux..

Petit Jean. Ho , ho , Monfîeur.

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