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Page:Racine Théâtre Barbou 1760 tome1.djvu/282

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141 LES P LAID EURSy

D A N D I N.

Gommen€ci donc.

LE Souffleur. Meffieurs. Petit Jean.

Ho, pienez-Ie plus basj Si vous foufflcz fi haut , l'on ne m'entendra pas. Mcflieurs . . .

D A N D I K.

Couvrez vous.

Petit Jean» Oh ! M&f . . .

D A N D I N.

Couvrez-vous, vous dis-; Petit Jean. Oh, Monficur, je fais bien à quoi l'honneur m'obli^

D A N D I N.

Ne te couvres donc pas.

PETiTJEAN/e couvrant.

Meïïîeurs . . . i au Souffleur.) Vous , doucemcï Ce que je fais le mieux, c'eft mon commencement. Mefficurs , quand je regarde avec exaditude L'inconftance du monde , &c fa vicilîîcude ; Lorfque je vois , parmi tant d'hommes différeAs , Pas une Etoile fixe, &: tant d'Aftres errans; Quand je vois les Céfars, quand je vois leur fortun Quand je vois le foleil , & quand je vois la lune j

( Babyloniens. ) Quand je vois les états àcs Babyboniens

( Perfans , ) ( Macédoniens , ) Transférés àcs Serpens aux Nacédoniens ;

( Romains , ) ( dejpotiçue , )

Quand je vois les Lorains, de l'état Dépotique,

( Démocratique , ) Paiïcr au Démocrite , & puis au Monarchique ; Quand je vois le Japon . , .

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