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pns des Capucins pour des Cordeiiers. L'autre me veut pus aes v.aj r ^^j. ^^ Mulard.
^n . M ff.ur )ê L?on.b;fn ce CordeHer cft dcaié «a^m vous ; on fc plaignoit encore en ce temps- à S'uTcaPUcin , & ce font des Capucms qui ont bu le
Tftvé qu'ils ont commencée ; ils pourront même ^
- t rdte hiHoirç. «
- Us en feront »^- J -
oirrP oarticulier, qu'ils mtituleiont : Ue l ej^rit m
Vous voyez t'=n <!"= Ic ne ch p^^^.^^^^
'"^rclk-d ; Tpor .fvous r'apporter cent de vos
miens. Jnais u ■ ^ous-mêmes î ou ils fe-
pas que vous vous ennuy ^^ ^^,^^^ ^^^^ ^^_
soient d--;;^ « ;f,3^ ;^e je ne divertis que par les proche . c<^"^"^j;;°j"^' ' ^^ois même que je ne vous partages d"/"^»^^'- f ? ..^ ,,fufe point de lire vos éairai pas ^^^^î^^^^f v'aate" de vos difnutes ; mais ^^ologies, m dure ^F^"^ ^ ^^,.^i, „^e chofe le ne veux P^^^^^/J^^.^l'.e j'ai donn6 en partant , '"'"^^uffe'atci rfur lesbra? tous les difciplcs de fairjt 'f ""'(l-n Ils n'y trouveroient pas leur compte ; ils Auguftin. Ils n y ^'"" . /•• ^ ^^^ inconnus. II
n'ont point accoutume d ^vou attaire a de leur faut des gens connus & ^es plus ei^ve g ,
je ne fuis ni l'un m l'autre & P^^ ^«^J^^ï^^^^ ^ i,
îéf^tes, ce font vos ennemis naturels.
Jefuis.Cp-c. ^^p^^^^ ce 10 Mai 1^6^'
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