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Page:Ramayana, trad. Roussel, tome 1.djvu/72

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28. À ce discours du monarque, une violente colère s’empara de l’Indra des ascètes, du fils de Kuçika. Tel qu’Agni, comblé d’honneurs, dans le sacrifice, et arrosé de beurre clarifié, ainsi étincelait le taureau des grands Rĭshis.


Tel est, dans le vénérable Râmâyana,

Le premier des poèmes, œuvre de Vâlmîki, le Rĭshi,

Le vingtième Sarga du Bâlakânda.