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PRÉFACE.
l’une ayant généralement la force, la joye en partage, l’autre la foibleſſe, la douceur, la tendreſſe, la triſteſſe : l’une & l’autre, enfin, nous ſervant le plus ſouvent d’interprètes dans nos expreſſions, lors, par exemple, que nous citons le Diéze, le Béquare en ſigne de force, de vigueur, & que nous élevons la Voix en pareil cas, & lorſque nous la baiſſons & citons le Bémol en ſigne de moleſſe, de foibleſſe : ſi bien que le tout conſidéré avec un peu de réflexion ſe réduit à la plus grande ſimplicité.
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