Page:Ramuz - Joie dans le ciel.djvu/71

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avec méfiance. Et ça a été ainsi encore un bout de temps, puis voilà qu’une fois que j’étais en train de me reposer, assis à côté de mon trou, j’ai entendu rouler des pierres. C’était mon frère qui m’épiait, s’étant posté un peu plus haut dans la paroi… »