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Il se met à pleuvoir des gouttes sur la manche de Caille ; Caille :
— Je suis comme vous pour la justice, mais la justice n’est pas de ce monde.
— Hein ?
Ça se gâte déjà. Veyre s’arrête de frotter, avec des doigts rouge sang collés ensemble et le tampon collé à sa paume qu’il dut décoller en s’aidant de la main gauche :
— Et quand est-ce qu’on l’aura ?
— Dans l’autre vie.
— Taisez-vous ! taisez-vous ! (il criait à présent.) C’est ça ! rester les bras croisés ; bonne affaire pour les bourgeois !… Moi, je suis pour la justice qu’on se fait soi-même. On en a assez des cadeaux de votre bon Dieu !…
Alors il se remit à frotter, puis il dit :
— On fera la révolution.
La brochure resta près des bouteilles et