nous sommes persuadé d’atteindre au but assigné.
Et, puisque nos belles œuvres du lendemain de l’école voient s’accroître leur prospérité et leur influence, puisque nous les voyons puiser dans leur prodigieux développement même de curieuses et toutes nouvelles ressources d’action heureuse, favorisons leur essor complet, et, en ce qui concerne nos Associations rurales, donnons-leur cet organisme d’unité de vues et de direction qui assurera normalement leur bienfaisant développement.
Nous souhaitons vivement, suivant le beau projet élaboré par M. Léon Dujardin, voir se fonder dans chaque canton de France un groupement d’amis de l’école, auxquels viendront collaborer si précieusement nos maîtres dévoués. Ce Comité aura à se préoccuper de faciliter la création d’œuvres nouvelles, en mettant à la disposition des organisateurs tous les renseignements et documents nécessaires, puis de favoriser le développement des œuvres déjà existantes, en établissant entre elles et lui-même comme un lien d’entente commune sur un programme d’action accepté de part et d’autre. Le Comité cantonal, appelé aussi Institut cantonal, doit centraliser l’étude générale des questions se rattachant aux œuvres d’après l’école. Tous les présidents d’Associations affiliées à l’Institut cantonal se tiendront en relation permanente avec lui, et les directeurs d’école auront leur place toute marquée dans les Conseils d’étude, qui auront pour objet le rayonnement si désirable de l’action. Bibliothèques, livres, conférences préparées,
