Page:Raynal - Histoire philosophique et politique des établissemens et du commerce des Européens dans les deux Indes, v7.djvu/572

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I
Isles Angloiſes d’Amérique, cauſes de leur promte population 351 & ſuiv. Qui furent ceux qui y paſſèrent les premiers 361 & ſuiv. à qui l’on envoya comme eſclaves les criminels dignes de mort 364. Quel gouvernement y fut établi 365. Elles envoyent des députés à Londres 367. Leurs productions 305. Moyen employé par l’Angleterre pour ſe les aſſurer toutes 371. Mis sévèrement en effet en 1660, ibid. & ſuiv. Pourquoi les avantages en diminuèrent pour l’Angleterre 373 & ſuiv. Elles n’ont point de monnoye qui leur ſoit propre 387. Leur état actuel 518. Ont à craindre des ravages ou l’invaſion 519. À quel droit ſe ſont toutes engagées excepté la Jamaïque 520. Elles reſpirent l’opulence $23. Elles ne cultivent ni bois, ni vivres, ni bêtes de ſomme 525. Le ſucre fait les trois quarts de leur produit 526. Effets qu’elles reçoivent en payement 527.
Iſle des Caymites, près St. Domingue, à l’Oueſt 197.
Iſles du Salut, à trois lieues de la Guyane 48. Combien peuvent être rendues utiles ibid. & ſuiv.
K
Kingstown, ville de la Jamaïque, où ſe réfugient les habitans de Port-Royal après ſon renverſement 439.
Knowles, amiral Anglois, arrangemens qu’il fit en 1756 à la Jamaïque 440.
Krooked ou Samana, l’une des Lucayes 455.
L
Lamentin (le), contrée la plus fertile de la Martinique 101 & ſuiv.
Léogane, établiſſement François à l’oued de St. Domin-