Page:Raynaud - À l’ombre de mes dieux, 1924.djvu/110

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Ô toi, qui de la dépouille
De la Pouille
Et de Thèbes, as construit,
Pour notre âge, de main-fée,
Un trophée
Dont l’Univers s’éblouit.

Qui menant Pégase boire
Dans la Loire,
Et pliant tout sous tes lois,
Sûs te rendre sur la terre
Tributaire
Jusqu’au sceptre des Valois.

Toi, qui repeuplas la cime
Du sublime
Olympe, un temps dévasté ;
Et des dieux d’apothéoses,
Ceints de roses,
Rouvris l’immortalité.

III



Longtemps une engeance impie,
(Qu’elle expie