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Page:Raynaud - Ch. Baudelaire, 1922.djvu/120

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Le milieu de l’École normande, où subsistaient, en dépit des écarts passagers de la jeunesse, des vertus d’atavisme et un fond de spiritualisme chrétien, fut donc favorable à Baudelaire en cela qu’il contrebalançait les mauvaises influences venues d’ailleurs, et Dieu sait qu’il n’en manquait pas !