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Page:Raynaud - Ch. Baudelaire, 1922.djvu/327

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Et il sera toujours la voix de ceux, quelle que soit leur confession, mystiques ou athées, qui ont pénétré l’inanité des plaisirs d’ici-bas et qui ne peuvent s’accommoder de l’imperfection d’un monde où la soif inextinguible du bonheur se trouve liée, chez la créature, à l’impossibilité d’y parvenir.