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Page:Raynaud - La Mêlée symboliste, III.djvu/194

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ÉPHÉMÉRIDES POÉTIQUES [1]


1900-1910


1900 (suite). — Lucie Delarue-Mardrus : Occident.

Édouard Ducoté : Merveilles et Moralités.

Paul Fort : Les Idylles antiques. — L’Amour marin.

Charles Guérin : L’Éros funèbre.

Edmond Haraucourt : Le XIXe siècle, poème couronné par l’Académie française.

Francis Jammes : Le Deuil des primevères.

Charles Le Goffic : Le Bois dormant.

Touny-Lerys : Les Filles d’Eros.

Albert Mérat : Vers le Soir.

Louis Payen : A l’ambre du Portique.

Armand Praviel : Poèmes mystiques.

Robert Scheffer : Herméros.

Francis Viélé-Griffin : La légende ailée de Wieland le Forgeron. — Sainte Agnès.

  1. Est-il nécessaire de dire qu’on aurait tort de chercher dans ces Epémérides la nomenclature complète de tous les recueils de vers parus de 1870 à 1910 ? Il n’y devrait figurer strictement que des recueils symbolistes, mais les répercussions du mouvement furent si multiples, que j’ai dû élargir mon cadre et qu’il m’était bien difficile de ne pas mentionner, au fur et à mesure de leur apparition, l’œuvre de poètes, même d’une inspiration opposée, qui s’imposaient à l’attention, soit par leur situation acquise, soit par leur bruit, soit par leurs seules prétentions. Pour ce qui est des omissions possibles, toujours regrettables, qu’on veuille bien m’en absoudre, en considérant la difficulté de la tâche et que mon ambition fut de donner des indications impartiales et non d’établir un Palmarès.