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Page:Raynaud - La Mêlée symboliste, III.djvu/197

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1903. — Léon Deubel : Vers la Vie. — Sonnets intérieurs. — Léliancolies.

Théophile Féret : Anthologie des poètes normands.

Paul Fort : Les Hymnes de feu.

Tristan Klingsor : Scherazade.

Adolphe Lacuzon : Eternité.

Jules Laforgue : Œuvres complètes. Mélanges posthumes.

Léo Larguier : La Maison du Poète.

Sébastien-Charles Leconte : La Tentation de l’Homme.

André Mary : Symphonies pastorales.

Gabriel Nigond : Novembre.

Florian-Parmentier : Chevauchées épiques.

Georges Périn : Les Emois blottis.

A. Retté : Le Symbolisme.

Saint-Pol Roux : Anciennetés.

André Spire : La Cité présente.

Henry Spiess : Rimes d’audiences.

Valmy-Baysse : Le Temple.

Paul Verlaine : Œuvres posthumes.

Renée Vivien : Évocations.

Viélé-Griffin : L’Amour sacré. — Sainte Julie.

Revues : Le Festin d’Ésope (Guillaume Apollinaire). — La Jeune Champagne (René Aubert). — L’Essor septentrional (Florian-Parmentier). — La Roulotte (Louis Moreau). — La Nouvelle Revue moderne (Toucas-Massillon). — Les Marges (Eugène Montfort).

1904. — Henri-Martin Barzun : Poème de l’adolescence.

Henry Bataille : Le Beau Voyage.

Marie Dauguet : Les Paroles du vent.

Léon Deubel : Sonnets d’Italie.

Charles Derennes : L’Enivrante Angoisse.