Page:Raynaud - Le Signe, 1887.djvu/29

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Laisse l’espérance, en toi désolée,
Se pénétrer de ce coucher si doux ;
Adore en prière, adore à genoux
Cette heure discrète et d’amour voilée.

Et recueille toi, grave en ce moment
Qu’au pied de ta chère et verte colline,
De l’église, noire encor que voisine,
La cloche au son clair tinte doucement.