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Page:Recueil de romances à Madame Desbordes-Valmore.pdf/44

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2 Lisez dans mes yeux efdeureid,
Mes tristes destinées
Camples pay moschoveno blanchis;
Wes nembvendes années
Je ne pions point spardegrandsmoto
Stablir mascuffrouče
Estraits, ces rizes, ces lambeaux
Voila mon Eloquence.

Epus qui Pedaignes mes chagrins,
Igus que le luxe eperve
Biches vonzalavez les destins;
Que keiel vgus peserve, jadis
Pas coule Theureux jours
Letais libre et tranquilles
Et me voita sent sous Secours
Languissante débile

eth it vous draviez les malheurs
Que Soutients ina midere
sa pitié fgrgerajt cosplenns
De L'aæll le plus Severe.
is ings peines viennentOnGel
Mais, je souffre Says murmure
Et.faegrelordre éternel;
Dans les maux que jendure.

je cultivais avee Gaieleé
Un modeste peritage,
Aisance, plaisires Santé
taient la prou partage,
je saluais laube an your
au sommet pesmontagnes
St ma voix charmai à lantour
Les Echos des Campagnes:

Da Grete kelas pappa mes mees
Devasta to terre 21.
Dans nos hameguá désolés,
Un voi porta la grewe.
Ja La Guerre maccabla Vimpob
je ne pus Satisfaive!
Deastdalsprirents mestrenpran
Brulerent ma chaumiere,

il restaits speer a mon caur,
Uue aimable famille
Pour ami fais un grandseigneur
Qui menteva, ima fille
Tu mourus alors de douleur
ma moitié cherieg
Its Dicy me loita le malheur
En me laistant slavie.