Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome15.djvu/8

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de ’lettres anecdotes .que bous «von pu recouvrer la plus grande part» étoit entre les mains de tout le »yy»ffMln Mais notre devoir n’est rrf filktn**»f’4i reproduit ? T|y>nmp»t*» *hitloiffy il faut les rel^vailler ; et puisqu’il s’agi ici de lettres, c’est li partie q avoi besoin, plus que toute autre,. ditre remaniée. Les premiers éditeurs, ou n’oni point fait de notès. ou, s’ils en ont fait ils ont presque toujours négligé J’éclair cir les endroits qui avaient le plus besoin d’éctoirrasaemqyl, mai» sur-tout h chronologie, dont presque aucun n> s’est occupé Cest cependant la partie la plus essentielle, sans laquelle la plu.part de ces pièces détachées les unes de autres sont sans intérêt, et ne peuvent servir à notre instruction. Nous nous sommes donc particulièrement appliques à fixer les dates de ces lettres ce sera au lecteur qui voudra se donner la peine de les vérifier, à décider si Cette partie de notre travail n’est pas celle ^jui présentait le moins de difficultés. Toutes ces lettres, à l’exception de celtes des Papes, ne portent, selon l’usage de ces temps-là, aucune date ni de temps ni de lieu il a fallu bien des recherches et des capprocbenjens pour trouver la véritable ou la plus vraisemblable. Mais, comme avec <le la peine on vient à lxnit de tout, nous < royons cju’à force d’y réfléchir, nous sommes parvenus à la découvrir ; et lorsfjue nous t’avons cru nécessaire, nous avons indiqué l’autorité d’après laquelle nous nous sommes décidés. Nous avons encore ajouté, à la tête de chaque lettre, des sommaires qui n’existaient pas dans les manuscrits et les imprimés ; ou, s’il en existoit, ils ne rendoient qu’imparfaitement le contenu de la pièce nous avons évité de les faire plus longs, pour qu’ils ne prissent pas trop de place dans une collection si étendue. Après ces édaircissemens sur la nature de notre travail, il nom veste à faire connoître à nos lecteur* quel est le mérite des lettres dont nom avons fait choix. os jm*w aime primùm mtiuu. At *Jilie institut* mosiri en non solùm historié* Mfc SBMfeJUftWBB^tMftât^S : ^4^m ^mAT#^m 9Ê’ ̃̃* •wwsp^»wpWM»j| CVMMI wm%fm9 ~0COitigWf<ëjç }* $& mdtm m*ùcuris npurgtu* It- l, iUautnOm r^mHMan, « quomiam fit tfmtolit urmo Me est, major» m lit mmttrig cmnù pttmlart vidêbatur. e- Qtd *mim mt prwd publiai luot do-Ht

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Id,’ .1II8nMIa. f .Iooa l8"uü ¡t,. CMMtMM~MMtt Op<M,W~ ’M~nprr HjmiWimaptomut ; eknmoUtgiam · !or4i~r r,~le~t~ ~e la ultuj ett qui u»rmm sumxperk. Porrv, je sublatd ctvvmotmxi, qud tabulm ilim, ie dn*ni prm-sms érgwmnti, ûtriam i- iiiigentur, ma oliqtêem ex «arum fa>es tione Jructum pmàpias. Nostr* ita* lt que prmciptm cura fuit suum epUtol* is emique tempos as/ignare quod an i- pr^bè astrcifti simus, tectorum judiew et fxperUntut reliquimut. I-’ si nous avons toujours réussi, ït Verte res erat intricata et suo moC jC* é^1" Quat enim damus epistStas, tu chronicia pur unique notis, pro more Ulorum temporum, · e destiluUe sunt ; et verum earum temil pus aut veto proximum cjc rerum el personaruM circumstantiu erat ina vutigandim. S«d, quia nihil tam C arduum q§U qtuerUando investigari possit, rem nos multa mord multdque délibération* assecutos arbitramur et càm nécessitas id postulant, atictorttates quibus in noitram inducti sumus sententiam, apposuimus in notis. Prmterea singulis yuibusqiu : iitri ris argumenta, qeut in manuscriptis L codicibus et in editis etiam libris aut desiderabantèr aut subjectam materiam minus tè reprmsentabani, prmfiximus ; ctmpendiasa illa quidem, red quaiia ferre videbantur paginarum nostnûLm angustùc et epistolarum copia. t Hia ad dedarandam opérant nostram prwmirsis, restât ut epistolarum delectum èuem fecimus lectoribus commendemms.