xxx DE REPUDIATA A REGE PHILIPPO BERTA, il .liieinii. Hfft ̃ U Tntinitai |>r. 131 c Toim> uoslru f, xis» ;. i 1 llii.l. p. *>7. Nenuatsmti raque ad tbitum Urbam il Papas, anno 1099 ; 8.° *b Vrbam oUtm usque ad Pktammm eatalutm am» 1 100 celebratum m quo Pkilipput dénué tmathemate pentricttu fiât 9.° ,à là tempore Piclaviensis œncUii usque ad Parisiente anni 1 104 m quo Philippin fuit abmlutu* et EceUtue ylatè reeencMatut 10. ’/lexique à réconciliai PRIMUM TEMPORIS INTERVALLUM, A solemniis nuptiarum Philippi 1 cum Berta us<jue ad ejusdem repudium. Si credimu, Blondello Philippu sibi Bertam mairimonio copulavit anno 1071 ; si Beslio anno 1073. Fatendum tarnen est certum et prœfinitum hujus matrimonii igwpus ignorari quippe à nullo -*aîronïcorum consarcinatore traditum. Prcecessisse autem illud annum 1075, certô eolligimus ex diplomate m anno dato, et inter probat unies Trenorciensix Historien recitatn, cui af>positi<m etl sigmim ilomnae Ik’rta-, Francorum Re^inae. Siillam ex uxore sua Philijipus prolem tiucepit ante annum 1 0H 1 Sarrat i-nim llariulftts, S, Hieharii in Pontivo momuhus siTiptar vitœ B. Aniulfi Suessimuvsis episcopi a Plnlippum » Hfijem ;<7~<M per a~rru~s ali.rluot n nuptiali coputœ socûitum, cùm vidtret » suant Iteginam permanere êierilem famulnm Ihmini sanctum Arnulfum frequrntiiu exorasse Uim per se » c/M<i ;n per alios clarissimos viros ut » Ihmini clnnentiam impbraret qua» tenus aii regni tulelam et ad sancUe » t’.ixlesue defensionem filium sibi sue» cepprum condonare dignaretur. » .Ver fefelHt Begem sua religio. Yir enhn thi oralurum se spopondit si modo Beginœ in corde firytn sederet ut ipsa intérim propensiorem pauperum ivram haberci, intimans quod eorum vox divinis auribus vim inferret. Quufquid alii de hac narratiuncula sentiant, certè nec ipsis philosophi» non [trobabitur ea religio, scepiùt ad furc itsqiu1 tempora frequentata si ex ea indigentibus alimoniorum subsidia con- /t’r<fN~o l’erhibe t nuterrr idem Iruforieus nro sancto dmtutùs, anno IOS, rêvelatuin Beginam nec opinantem utero ’fat frappé d’une nouvelle excommunication ; 9 depuia le concile de Poitiers jusqu’à celui de Paris, de l’an 1104, dana lequel Philippe fut absous et entièrement réconcilié à l’Egùse ; enfin, 10.* depuis la réconciliation de Philippe jusqu’à sa mort arrivée l’an 1108. i(o Hege ad ejusdem toque obitum anno 1 1 08. PREMIÈRE ÉPOQUE, Depuis le mariage du Roi Philippe c avec Berte jusqu’à leur séparation. Suivant Blondel Philippe auroit t’pousé la Reine Berte l’an 1071 selon Besli l’an 1073. La- vérité est que nous ne savons pas précisément l’année de ce mariage aucun chroniqueur ne nous en ayant instruits. Mais ce mariage est certainement antérieur à l’année 1075, puisque, dans un diplôme de cette année, rapporté parmi tes pièces justificatives de l’Histoire de l’abbaye de ïournus Berte signe comme Reine signum domnœ Bertcr Francorum Begintt. Ce mariage fut stérile jusqu’à l’année 1081. Hariulfe, moine <le Suint-Riquier en Ponthieu raconte, dans la vie de saint Arnoul évèquele Soissons que le Rot aflligé de voir’qtue la Reine ne lui -donnoit point d’enfans s’é^oit souvent recommandé aux prières <Ju saint lorsqu’il n’étoit encore que reclus dans l’abbaye de Saint-Médard ♦ afin d’obtenir e Dieu par son intercession, qu’il lui accordât iin rejeton capable de perpétuer la quuronne dans la famille des Rois dpétiens et de protéger la sainte Eglise. La foi du monarque ne lut pas aine. Le saint homme s’engagea a faire des prières. à condition que la Reine, de son coté, travaillerait plus particulièrement au soulagement des pauvres l’assurant, dit l’historien que leurs prières sont toujours puissantes auprès de Dieu. Quoi qu’il en soit de ce récit, et quoique opinion qu’on se forme de ces pratiques de dévotion dont on trouve des exemples · dans tous les temps jusqu’à nos jouis la philosophie ne peut y trouver à redire, lorsque le soulagement des pauvres en est le résultat. Le même historien nous assure que, l’an 1081 le saint homme avant connu
