PRiEFAtlO. >H0M» prodiitnt, arbUmti tunt ti quidam uiendum èxttnplo £> Bou- E guet qui h^ÊMas pturium prùnm • a. ~`aecund~re~~s~ Reguni’ :oonjrur 1a A secunda l^ks • Rtgum conjurr la ttm sub una sibi periodo includendas U prmstituerat. ’Porrb, adhibitif «a d’ a1 re consitltatïonibiu ; doctorum viro- O rum in fustoria patria versatissi- ft tnorum plaçait ut deinceps omni- 0 gêna documenta ad hûtoriam Fran- ai cicam regnantibus ab anno 1060 r< usque ad annum 1180 Philippo, d Ludovico VI ac Ludovico^ VU, d pertinentia, in unum corpus congère- jt rentur. Ea nobis in stadium continuandse Collectionis ingredienfibus. imposita C y«iT texcnda in Aline modum sporta, C nosque haudquaquam emeritis in d teri pulsestra viris refra’gandum cen- n ^suimiist /it verb perspicuum est eos p fquod pace tant or um virorum dic- <J tum sit) non satis exploratam ha- S « baisse historiarum summam qum in t earn perfodum inducenda erat. Ne- c que enim temporiBus Ludovici VI et X Ludovici VU tanta erat. de rébus é Francieis scriptorum et instrumen- t torum penuria quantam illi ani- r madverterant regnaritibiis Henrico l C et filio ejus Philippo. Itaque unum 1 déclinantes incommodum incidimus € in aliud amplectendo namque plus t justo longum temporis spatium, fac- 1 tum est ut in molem quinque volumi- t num, ne quidquam omitteremus ex iis c quv. ad illu.strandam trium Qpgum a hisloriam conducunt prmter eorum < opinionem excreverit materia quod- < que -gravius incommodum est inde { Jactum ut volenti singulorum Regum ] iUoritm indogare historiam non « unus aut altcr evolvendus sit tomus, i sed omnino quinque sint pepsent- < tandi. Quid autem si prmler historicos Francicst regionis. accensendi in Collectionem nostram fuissent ii qui, steculo xii, de rebus Francorum militid gestis in Orientalibus plagis scripserunt ? Certè angustum règnes à-k-feis, comme l’arcnt pratiqué v Dom Bouquet en réunissant sous une même période plusieurs des règnes <de la première et de la seconde dynastie. JI y eut, à ce sujet des ^conférences avec les., savans les plus vèrsés dans la connoissande de notre histoire, et il fut décidé qu’en. reprenant l’ouvrage on réuniroit èûsenible les chroniques et autres monumens historiques des trois règnes de Philippe lr, de Louis-le-Çn» et de Louis-le-Jeune renfermant l’espace de temps qui s’est écoulé depuis l’an 1060 jusques à 1180. .Tel étoit le plan qui nous fut prescrit, lorsque nous fûmes chargés de la continuation du Recueil des historiens de ; France nous l’adoptâmes sans examen, par déférence pour des savans plus exercés que nous dans ce genre de, travail. Mais, soit, dit sans les offenser, il est évident qu’ils n’avoient’ pas une idée bien précise des objets qui devoient entrer dans cette période. Ils imaffinèreut peut-être que les .règnes de’Louis-le-Gros et de Louis-le-Jeune ne seroient pas plus abondans en historiens et autres monumens historiques que ceux de Henri L* et de sbn fils Philippe c’est en quoi ils se trompèrent et pour éviter un inconvénient ils tombèrent dans un ^utre car, en emibrassant à-la-fois un trop long espace de temps, il est arrivé, comme on auroit dû le prévoir que cinq volumes ont à peine suffi pour ne rien omettre dece qui peut donner du jour à cette portion V. de notre histoire. Ajoutons à cela un plus grand inconvénient encore, c’est .que, + pour connoitre ^n détail l’histoire de chacun de ces Rois, il ne suffit pas de consulter un ou deux volumes il faut en parcourir cinq. t Que serait-ce si, indépendamment des histoires particulières au royaume de France, nous eussions entrepris d’insérer dans notre Collection les historiens qui, dans le xn.’ siècle, ont célébré les exploits militaires des François
