» Seconds États de Blois, 1588. Ü tiques, s’ils ne sont de la qualité : pareillement quevaczition advenant des autres bénéfices dé-
pendaiis desdits monastères qui sontà la collation
desdits commendsitæiires tenus en titre, soient conférés aux smcieiis religieux dudit monastère ou autres de l’ordre. ’ — 93. Que aiixdits monastères commendés les novices seront recus arlessu érieurs ou ceux ueles , P P ’ abbes ou prieiirs com meiidataires présenteront, qui seront trouvés ca ables et idoines, seront recus. P. = 94. Que nuls iuges tant souverains que autres
ne pourront empêcher d’entrer en religion ou yo
demeurer ceux qui auront atteint l’âge porté par le concile de Trente ; et au cas qu’il y eût quelque différend pour te-lle chose, l’évêque diocésain en connoîtra et décidera. “ e
95. Les réparations des démolitions et ruines des églises et édifications des abbayes, prieurés et autres bénéfices, advenues par les négligences de ceux qui en sont pourvus ; la quatrième partie du revenu annuel sera prise et répétée sur ceux qui en ont joui, pour être employée aux réparationsjusqüà ce qu’elles soient parfaites.
96. À cette fin que l’observance régulière et uniformité des constitutions monastiques puissent être gardées en tous les monastères qui sont d’un même’olrdre en ‘ce royaqme ; soit ordonné qpe, suivant e conci e, tous es monastères ui n ont pas ci-devant accoutumé célébrer chapitiîs géné-
Jaux, sauf ceux qui sont immédiatement sous les
évêques diocésains ou autres ayant droit, soient tenus, dedans six mois après cette ordonnance publiée, se réduire en congrégation pour tenir, de trois ans en trois ans par aprèsJeur chapitre général, auquel seront ordonnés et constitués certains visiteurs pour visiter tous et chacun des monas-
