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PRiEFATIO.
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potuisse vix credibile est.. Has verb raisonnablement taxer de apposition 9 Mo recensera ackctorisjudicioper- nous allons les recueillir pour que mittere^perxpretiumducimus.Jn- le lecteur en soit le juge. En 11M, mlmMuLt,JteXHe,ricusin disent-Us, Henri I passe en AngleJneliamtmjicitcumfdmsuaMvterre vers le milieu de Septembie y
thilde, circa medium Septembrem. avec sa fille Mathilde. Le jour de la Ibi congregatis die Cireumcisioms Circoncision 1127 il assemble les anni 112 ! regni Proceribus fide- Grands du Royaume et leur fait que ab eis accepta, regnumfli* promettre avec serment, qu’ils reconLe asserit post se oecupandum si noîtront après lui sa fille pour sou"maJLa^e contingat eum ~’mlLrrPene^ps mâles
e z~itcz decedere. Paucis abTt.ine die- de son mariage. Peu de temps après lï ££*££££ %£™, fils de Robert Duc de
^kc^^Comi-îflmfW™ Noi-mandie, est eta^u.C°™teGr* a Ludovic VI Francorum Rege Flandre par le Roi Louis le Gros. « iiMOMOT accepto nzcntio ,j. Cet événement alarme beaucoup le anxius Jnglix Rex efficitur,qu,ppe Roi dAngletene, parce que ce jeune ^,»«ùi»«w&,p«*’ Prince étot,ie sujet de toutes les ab Jndegavensi Comité lacessitus guerres qui lui avoient été déjà susfuerat cLi Guillelmi cui flliam citées en deçà des mers, sur-tout Ulesuampaulbamènuptuicolloca- par le Comte d’Anjou qui, peu auZat.ELitaque ut in partessuas paravant, en avoit fait son gendre. pertrahat, et a Guillelmi, qui supra Pour l’attirer dans son parti et le lodum i^cdesceiat.partibusab. détacher de celui de son neveu qui ducat, filiam suam ejusdemfilioso- devenoit trop puissant il se détereiandam decernit, transmissamque mine à donner au fils du Comte sa in Normanniam statim post Pente- fille en mariage et 1««^» costennuicuxoremdesponderijubet. Normandie, d’abord après la PenteIpse-verô in Normanniam appulsus côte, pour être fiancée aussi-tôt. LuiVllKal. &^mim,remadef- même arrive en Normandie sur la fectumperducit, ut ait Simeon fin d’Août, et fait célébrer le maDunel.nl, «tverbisutanwrmilel- riage remqm ad effectua perducU dit mi ifcW.radistulitqain ipse Siméon de Durham et Guillaume Normanniam navigaret, eosque de Malmesburi nec chstuht quin ipse matrimonio conjungeret. Ob- Norpianniam navigaret, eosque matnmoservandumporrb Simeonem et Guil- nio conjungeret. Il est à remarquer que lelmumeoipsotemporeseripsissequo ces deux Auteurs envoient dans le res agebatur. Pergit Simeon Hen- tems même que tout cela se passoit. ricus in Francia demoratus usque Henri séjourna en France jusqu’au adJuliummensemanniim,™ mois de Juillet 1129, et à peine Anglmm attigerat, cùmeccenun- fut-il arrivé en Angleterre, qu’il aptiatur Regi filiam suam a marito prit la triste nouvelle que sa fille étoit repudiatam abjectamque sine brouillée avec son mari, et que renvohonore, paucis admodùm co- fée ignominieusement elle s’étoit retirée mitibus rediisse Rotomagum à Rouen. C’est encore Siméon de quaj res animos Regis acriter Durnam qui nous apprend cette cirturbavit. Haud igitur veridndle est constance. Il n’est donc pas croyain annum 1129 dUatum fuisse ma- ble que le mariage ait été différé trimpnmm, càm prxsertim utrim- jusqu’en 1129, s’il est vrai, comme
