Charroi[1] (H. F., vi, 77-78). — Cinquantenier (H. F., vi, 104). — Commanderie (H. F., iii, 102). — Couleuvrier[2] (H. F., vi, 77-78). — Coutilier (H. F., vi, 77-78). — Cranequinier (H. F., vi, 77-78). — Dizenier (H. F., ix, 405). — Durandal (comme synonyme de épée) (H. F., ii, 37, 40)[3]. — Estafier (H. F., xi, 21). — Garnisaire (H. F., iii, 95 ; iv, 16, 274 ; vi, 109-110 ; ix, 207 ; xi, 411-412 ; xii, 100, 263 ; xiii, 151). — Gendarme (ou gens d’armes) (P. H. M., 101, 104, 110, 112, etc… ; H. F., ii, 449 ; iv, 253 ; v, 73 ; vi, 122, 396 ; vii, 161, 353, etc…). — Gendarmerie (P. H. M., 100, 110, 120, 123, 135, etc… ; H. F., ii, 348, 447 ; iii, 83 ; iv, 21, 254 ; v, 141, 230, 305, 313 ; vi, 164, 330, 396 ; vii, 121, 163, 269, 351, 352, 359 ; viii, 55, 143, 188, 191, 213 ; ix, 132, 274, 313, etc., etc…). — Harnais (H. F., vi, 164). — Munitionnaire (H. F., xi, 563 ; xiii, 69 ; xiv, 46 ; R. F., iii, 441). — Paveschien (H. F., iii, 297). — Quartenier (H. F., vi, 104).
De même que pour la langue de l’armée, les mots abondent pour la marine ancienne, et, pas plus que pour les précédents, nous ne songeons à donner une liste complète des termes qui se rencontrent chez Michelet, Comme toujours, chaque fois qu’il abordera une question se rapportant à la marine, il aura recours aux désignations de l’époque : Brulot (P. H. M., 214 ; H. F., xii, 20). — Caraque (H. F., iv, 272 ; xvi, 82). — Galéace (H. F., x, 31). — Galion (P. H. M., 288 ; H. F., xi, 578, appendice, 1). — S’il parle des galères, il n’oubliera pas de mentionner le comite (H. F., xii, 301, 304, 305 [trois exemples à la même page 305], etc., etc…).
a) Angleterre. — Covenantaire (H. F., xi, 411). — Culdée (Irlande) (H. F., i, 122). — Jacobite (H. F., xiii, 10, 56, 58, 73, 74,
- ↑ Ce mot est fréquemment employé : H. F., iv, 404 ; vi, 90, 175, 334 ; xiii, 184 ; R. F., vi, 359, etc…
- ↑ La première édition et l’édition définitive donnent cette orthographe, qui n’est pas habituelle, au lieu de couleuvrinier.
- ↑ Toutefois, ce mot, employé comme nom commun, est appliqué dans les deux passages à l’épée de Roland.
- ↑ Là encore nous ne voulons donner que quelques exemples d’un procédé (qui n’est pas particulier à Michelet), et non des listes complètes.