HECTOR}}.
Et vous y logez bien, et vous et votre clique. [105]NÉRINE.
Est-ce de même, dis ? Ma maîtresse Angélique,
Et la veuve sa soeur, ne sont dans ce pays
Que pour un temps, et n'ont point de père à Paris.HECTOR.
Valère a déserté la maison paternelle,
Mais ce n'est point à lui qu'il faut faire querelle ; [110]
Et si monsieur son père avait voulu sortir,
Nous y serions encore, à ne t'en point mentir.
Ces pères, bien souvent, sont obstinés en diable.NÉRINE.
Il a tort, en effet, d'être si peu traitable !
Quoi qu'il en soit, enfin, je ne t'abuse pas, [115]
Je fais la guerre ouverte ; et je vais de ce pas,
Dire ce que je vois, avertir ma maîtresse
Que Valère toujours est faux dans sa promesse ;
Qu'il ne sera jamais digne de ses amours ;
Qu'il a joué, qu'il joue, et qu'il jouera toujours. [120]
Adieu.HECTOR.
Bonjour.{{scène|
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