Page:Regnard - Œuvres complètes, tome second, 1820.djvu/200

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HECTOR}}.

Laissez-moi ; je cherche en ma boutique.VALÈRE, bas à Hector.

Écoute... nous avons le portrait d'Angélique.

Dans le temps difficile il faut un peu s'aider. [760]HECTOR, bas à Valère.

Ah ! Que dites-vous là ? Vous devez le garder.VALÈRE, bas à Hector.

D'accord : honnêtement je ne puis m'en défaire.

MadameLA RESSOURCE.

Adieu. Quelque autre fois nous finirons l'affaire.VALÈRE, à Madame La Ressource.

Attendez donc.

Tu sais jusqu'où vont mes besoins.

N'ayant pas son portrait, l'en aimerai-je moins ? [765]HECTOR, bas à Valère.

Fort bien. Mais voulez-vous que cette perfidie ?...VALÈRE, bas à Hector.

Il est vrai. J'ai tantôt cette grosse partie

De ces joueurs en fonds qui doivent s'assembler.

MadameLA RESSOURCE.

Adieu.VALÈRE, à Madame La Ressource.

Demeurez donc : où voulez-vous aller ?

Je ferai de l'argent ; ou celui de mon père, [770]

Quoi qu'il puisse arriver, nous tirera d'affaire.HECTOR, bas