dessein de l’épouser. Je vous demande pardon de ma conduite passée : consentez à ce mariage, je vous prie : on vous rendra votre argent ; et je promets que vous serez content de moi dans la suite.
Ah, pendard ! Tu te moquois de moi !
Cela est vrai, monsieur.
Lucile est ma nièce ; et si votre fils l’épouse, je lui donnerai un mariage dont vous serez content.
Pouvez-vous donner quelque chose, et n’êtes-vous pas interdite ?
Elle ne l’est que de ma façon. ?
Quoi ! La maison…
Tout cela part de là.
Ah, malheureux ! Mais… Qu’on me rende mon argent, je me sens assez d’humeur à consentir à ce que vous voulez ; c’est le moyen de vous empêcher de faire pis.
C’est bien dit ; cela me plaît. Touchez là, monsieur Géronte ; vous êtes un brave homme : je veux boire