Page:René de Pont-Jest - La Duchesse Claude.djvu/446

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— Ah ! oui, je vous obéirai, je ne dirai pas un mot, je ne ferai pas une démarche sans vous consulter. Que Dieu soit béni d’avoir donné à Claude un ami tel que vous ! Comme elle vous aimerait si elle savait tout ce que vous faites pour elle !

Et l’excellente vieille pressait affectueusement les mains du docteur, qui se répétait à lui-même :

— Comme elle m’aimerait ? Oh ! jamais autant et ainsi que, moi, je l’aime, pour mon châtiment !