Page:Renan – Patrice, 1908.djvu/78

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sur le bord du chemin, que nous avons réchauffé, ranimé, dont nous avons essuyé les souillures, se tournait contre nous, et voulait prendre comme un brevet de vie les éloges que nous avons eu la naïveté de lui donner, oh ! qu’il meure alors, et que cette fois la pierre soit bien scellée, qu’il ne ressuscite pas le troisième jour !