Cette page a été validée par deux contributeurs.
CHAPITRE XVII.
FORTUNE DU LIVRE.
L’ouvrage se termine par cet épilogue :
Et c’est moi, Jean, qui entendis et vis toutes ces choses ; et, après les avoir vues et entendues, je tombai devant les pieds de l’ange qui me les montrait, pour l’adorer. Et il me dit : « Garde-toi de le faire, je suis ton coserviteur ; nous avons un même maître, toi, moi, tes frères les prophètes et ceux qui gardent les paroles de ce livre[1]. Adore Dieu. » Et il me dit ensuite : « Ne scelle[2] pas les discours de la prophétie de ce livre, car le temps est proche ! Que l’injuste devienne plus injuste encore ; que celui qui est souillé se souille encore[3] ; que le juste fasse encore plus de justice ; que le saint se sanctifie encore ! »
Une voix lointaine, la voix de Jésus lui-même,