Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/101

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séparer. L’heure et plus encore le papier m’en avertissent. Adieu, très chère maman, je ne puis vous dire combien je vous aime. Mais vous le comprenez bien, n’est-ce pas, ma chère maman ? adieu encore une fois. Votre fils respectueux,

ERNEST