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suis abattu. Les matinées me sont ordinairement pénibles et les soirées plus calmes. Enfin, ma chère maman, venez vite à Paris ; je crois que quand je vous aurai vue, j’aurai plus de courage. Oh ! qu’il est pénible d’être séparés ! Adieu, adieu, mon excellente mère. Votre fils qui vous porte le plus grand respect et le plus grand attachement.
ERNEST