On ne vieillit pas avec vous.
… et un livre prêté. Voilà.
À la bonne heure ! c’est un plaisir de rompre avec vous.
Avec vous aussi.
C’est bien, ce que nous faisons là, très bien. C’est tellement rare de se quitter ainsi ! Nous nous sommes aimés autant qu’il est possible, comme on ne s’aime pas deux fois dans la vie, et nous nous séparons, parce qu’il le faut, sans mauvais procédés, sans la moindre amertume.
Nous rompons de notre mieux.
Nous donnons l’exemple de la rupture idéale. Ah ! Blanche, soyez certaine que si jamais quelqu’un dit du mal de vous, ce ne sera pas moi.
Pour ma part, je ne vous calomnierai que si cela m’est nécessaire… (Elle s’assied à droite et Maurice à gauche de la table.) Me rendez-vous mon portrait ?